wOueb by Romain DECKER / Another IT Guy Blog

Google propose (enfin) une solution pour accéder à vos mails Google sans avoir de connexion Internet : Gmail Offline (en beta) permet de synchroniser vos mails avec votre ordinateur. Jusqu’à présent, il était possible d’utiliser un client (Thunderbird, Outlook, etc.) et de récupérer ses mails en local (POP3S / IMAPS).

Gmail Offline est disponible sous forme d’extension pour le navigateur Google Chrome. Même hors ligne, il vous sera possible de faire des recherches, de classer des mails, d’y répondre, etc., et toutes ces modifications seront synchronisées quand vous vous reconnecterez à Internet. Par ailleurs, ce système permet également d’accélerer les temps de réponses par rapport à la version Gmail classique.

L’interface à deux colonnes proposée (voir capture d’écran ci-dessous) n’est pas sans rappeler celle présente sur iPhone / iPad.

L'interface Offline Google Mail qui rappelle celle présente sur iOS

Lors de l’installation de l’extension, la seule configuration est l’activation (ou non) du mode offline (voir capture d’écran) : il sera toujours possible de changer de

Offline Google Mail : sélection du mode Online ou Offline

Pour ceux qui veulent tester, rendez-vous sur la page de l’extension Offline Google Mail.

Après l’affichage du trafic dans Google Maps, il est maintenant possible d’y afficher la météo en surimpression. Pour l’afficher, il suffit de passer la souris dans le coin supérieur droit et de sélectionner « Météo » (voir ci-dessous).

Afficher la météo sur Google Maps

La météo de toute la planète est disponible (une lune est affichée pour les fuseaux horaires où il fait nuit) : lorsque l’on zoom, la carte est automatiquement mise à jour. Les nuages sont affichés en temps réel également.

La météo de l'Europe sur Google Maps

Avec un clic sur une ville, il est possible d’afficher la météo sur 4 jours, le degré d’humidité et la force du vent : ci-dessous pour Strasbourg.

La météo des prochains jours sur Strasbourg

Vous pouvez par exemple consulter la météo pour l’Europe.

A noter : ce sont les données de weather.com qui sont utilisées.

Vous savez déjà certainement que Google est disponible dans beaucoup de langues. La sélection se fait automatiquement en fonction de (par ordre de priorité) :

• vos préférences utilisateurs si vous êtes connectés à un compte Google,
• l’extension de pays (ccTLD) que vous utilisez pour atteindre Google (google.fr, google.ch, etc.),
• le pays depuis lequel vous surfez.

Toutefois, si cela ne vous convenait pas, il vous est possible de changer la langue via le menu suivant.

On tombe sur la page des outils linguistiques de Google (comprenant l’outil de traduction). En bas de page, vous trouverez le chapitre langues disponibles pour l’interface de Google.

Liste des langues possibles pour l'interface de Google

On y retrouve plus d’une centaine de langues (j’en compte quasiment 150). Certaines sont peu parlées, comme le romanche (60 000 personnes le parlent en Suisse), ou encore d’autres dialectes (breton, créole, etc.).

On y retrouve également des langues encore plus exotiques, et totalement inventées :

• le klingon, venu tout droit de Star Trek : Google en klingon,
• le pig latin, un langage codé qu’utiliserait certains enfants pour ne pas se faire comprendre des adultes : Google en pig latin,
• hacker ou leet speak : Google en 1337,
• bork bork bork : Google en bork,
• elmer fudd, langage tiré d’Elmer, le chasseur qui essaye de tuer Daffy Duck et Bugs Bunny : Google en elmer fudd,
• pirate, tiré de l’International Talk Like a Pirate Day : Google en pirate.

Au départ prévue pour stocker des liens que je jugeais intéressants, la revue de presse hebdomadaire me permet de partager mes découvertes avec vous. Pour cette 64ème édition : Skype disponible pour iPad, des captures de Windows 8, les premières photographies du monde, l’analyse des visiteurs sur Google Analytics, et l’histoire de Mozilla et de Firefox.

(suite…)

C’était pendant la première quinzaine de juillet que Google a dévoilé cette nouvelle fonctionnalité : l’information trafic est désormais accessible pour presque toute l’Europe sur Google Maps. Déjà disponible auparavant pour la France et la Grande-Bretagne, la fonctionnalité a été ajoutée pour treize nouveaux pays : l’Autriche, la Belgique, la République Tchèque, le Danemark, l’Allemagne, l’Irlande, Israël, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Pologne, la Slovaquie, l’Espagne et la Suisse.

Pour pouvoir en profiter sur votre mobile, deux solutions :

• aller sur Google Maps Navigation for Mobile avec votre browser,
• utiliser l’application Maps pour les smartphones qui la possèdent (Android, iPhone).

Puis, en cliquant sur le widget carré situé dans le coin supérieur (ou inférieur suivant l’application) droit du plan, un menu incluant les données géographiques disponibles pour votre plan s’affiche : il vous reste à sélectionner « Afficher la circulation ».

Par exemple, sur le chemin du retour vers la France, je vois qu’il y a des ralentissements/bouchons juste avant la frontière de mon coté.

Pour plus d’informations : centre d’aide Google.

Lancé au courant de la semaine dernière (le 28 juin 2011), Google+ est la réponse de Google à Facebook. Accessible uniquement sur invitation pour le moment, Google+ est une couche supplémentaire à votre compte Google qui permet d’échanger et de partager des informations et du contenu avec un groupe de contact.

Trois fonctionnalités sont proposées :

• les cercles : les cercles sont la bases de fonctionnement de Google+. Ils représentent des groupes de contact que l’utilisateur peut créer et au sein desquels il décide des informations qu’il partage,
• les bulles : un système de chat vidéo entre 2 à 10 personnes simultanément,
• les déclics pour partager ou suggérer du contenu à vos contacts.

Les mises à jours de vos contacts sont affichés dans un « stream » central, mais il est également possible de n’afficher les mises à jours que pour un cercle en particulier.

Espérons que Google+ ne fera pas un flop comme Google Buzz ou Google Waves !

Si jamais quelqu’un voudrait une invitation Google+, il peut laisser un commentaire.