Au départ prévue pour stocker des liens que je jugeais intéressants, la revue de presse hebdomadaire me permet de partager mes découvertes avec vous. Pour cette 69ème édition : inviter des stars à vos soirées, une infographie sur les e-mails en France en 2011, des e-books gratuits sur Linux, et des captures d’écrans de toutes les versions de Windows depuis 1985.
Dans ma quête du Graal de l’outil parfait pour pouvoir sauvegarder mes données sur des destinations diverses (NAS, disques externes, etc.), je pense que j’ai trouvé mon bonheur avec Synkron.
Synkron est un outil de synchronisation de fichiers cross-platform, gratuit et très ergonomique. Son principal avantage est qu’il fonctionne sur la majorité des plateformes : Windows, Mac OS X, et Linux.
Pour faire simple, cet outil opensource permet de synchroniser un répertoire (ou un ensemble de répertoires) vers un répertoire de destination. Vous pouvez créer plusieurs jobs de synchronisation (représentés par des onglets), et les planifier à volonté.
Synchronisation de fichiers avec Synkron
Parmi les nombreuses fonctionnalités, on peut citer notamment :
la possibilité de créer une blacklist des objets/fichiers à ne pas synchroniser (par extension par exemple),
la planification de synchronisations périodiques,
l’option de multisynchronisation permettant de synchroniser plusieurs sources vers une même destination (un disque de sauvegarde par exemple),
la disponibilité d’une quinzaine de langues (dont le français),
etc.
Les options sont nombreuses et permettent d’affiner parfaitement chaque job de synchronisation (voir la capture ci-dessous).
Options de Synkron
J’ai adopté Synkron pour la synchronisation de mes fichiers vers mes NAS, pour ma sauvegarde. On peut le considérer comme une alternative graphique à rsync, idéal pour les allergiques à la ligne de commande. A noter cependant, qu’il permet uniquement la synchronisation vers des partages montés (disques locaux, partages CIFS, NFS, etc.), et ne permet pas la synchronisation via FTP ou SSH (par exemple).
Note : pour les plus bricoleurs ce ne sera pas un problème, puisqu’il est possible de créer des points de montages over SSH ou FTP. Par exemple, monter un espace FTP en local sur Debian.
Avant de l’utiliser chez vous, je vous conseille fortement de lire la documentation pour éviter de malheureuses embrouilles…
Pour télécharger Synkron, rendez-vous sur le site officiel.
Ceux qui manipulent régulièrement des équipements réseaux (notamment Cisco) doivent toujours avoir dans leur trousse à outil un serveur TFTP pour faire des copies de configuration, et/ou de code (firmware, IOS, etc.).
Petit rappel :
Le TFTP, pour Trivial File Transfert Protocol, un protocole simplifié de transfert de fichier qui fonctionne en UDP sur le port 69.
Personnellement, j’utilise depuis 6 mois TFTP32, un serveur TFTP opensource et accessoirement IPv6 Ready (même si ça ne sert pas beaucoup beaucoup encore aujourd’hui).
On peut noter que TFTPD32 peut également faire : client TFTP, serveur SNTP (serveur de temps), serveur Syslog, serveur DHCP (attention à ne pas oublier de le couper si vous en avez déjà un en fonction sur votre réseau), et serveur DNS.
Il est possible de :
le télécharger en tant que simple exécutable,
l’installer en tant qu’exécutable,
l’installer en tant que service.
Il existe même une version 64 bits de TFTPD32 : elle propose exactement le même programme, mais compilé en 64 bits.
Au départ prévue pour stocker des liens que je jugeais intéressants, la revue de presse hebdomadaire me permet de partager mes découvertes avec vous. Au menu de cette semaine : quelques articles intéressants sur Twitter, un Nikon D3 mis « à nu », les permissions Linux, et quelques smileys exotiques. (suite…)
Au départ prévue pour stocker des liens que je jugeais intéressants, la revue de presse hebdomadaire me permet de partager mes découvertes avec vous.
Au menu de cette semaine : une étude sur la différence entre abonnés par RSS et abonnés par mail, un portail gratuit de l’ONU qui vous livre des chiffres fiables et réalistes, et un concepteur BDD visuel opensource capable de reverse engineering.
Après quelques années de bonsloyaux services, j’ai décidé de remplacer définitivement Windows XP par une Fedora Core sur mon pc fixe personnel. Fedora est le nom d’un projet sponsorisé par Red Hat, réalisant une distribution Linux nommée Fedora Core.
Pourquoi changer ?
J’utilise quotidiennement 3 postes : au niveau professionnel, un Thinkpad Z60T avec Windows XP, un poste fixe supplémentaire avec une Ubuntu (autre distribution Linux). Il me restait donc mon poste fixe personnel, avec un Windows XP, dont les performances se dégradant régulièrement, m’obligeaient à le formater tous les 6 mois (je suis un peu maniaque de ce côté là).
Comme je voulais de toute façon le passer à Linux, il ne me restait plus que le choix de la distribution : travaillant déjà sur Ubuntu au bureau, mon choix s’est porté sur une Fedora Core, tout simplement parce que j’utilise déjà des distributions Red Hat sur nos serveurs.
Comme je passe minimum 12h chaque jour sur mes postes, mon confort d’utilisation est important : j’ai donc installé Compiz et XGL pour utiliser pleinement les possibilités et la puissance des bureaux virtuels (je suis également fan de la fonction Exposé-like).
Pour ceux qui n’avaient jamais vu les vidéos présentant XGL, voici la démonstration par l’image :
Ceci n’est pas mon poste…
Du fait que j’utilise 3 postes différents, j’ai encore quelques difficultés à gérer la quantité d’informations que je glanne chaque jour : RSS, informations, bookmarks, fichiers, photos, mails, etc.
Je me suis attelé à ce chantier titanesque qu’est le tri, la synchronisation et la mise à disposition de ces données sur chacun de mes postes : un de mes prochains billets expliquera comment je m’y suis pris.
Sans rentrer dans un troll quelconque (le système d’exploitation parfait n’existant pas), je suis fier d’avoir déjà complètement converti 2 utilisateurs néophytes à Linux, qui ne veulent plus du tout repasser sur Windows.
A l’occasion, je créerai également une nouvelle catégorie Linux sur ce blog, avec des explications, des astuces, ou des scripts (si je suis motivé).
Romain DECKER, 30 ans, ingénieur système, curieux, obstiné, passionné par les nouvelles technologies et leurs applications, je tiens ce blog depuis quelques années.
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